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  • Chroniques de mon underground (Хроники моего андеграунда)

    Édition en langue russe

    Le livre vient de paraître en russe, en coédition avec Linguistika (Moscou).

    Avant-propos est écrit par Pavel Pepperstein.

    Le livre Chroniques de mon underground – les chroniques autobiographiques de Sergueï Tchoubraïev qui permettent au lecteur de voyager de Leningrad à Saint-Pétersbourg, du socialisme de la « stagnation » au capitalisme sauvage des années 1990, de retrouver l’ambiance du légendaire café « Saïgon » et les tout aussi légendaires rockers Grebenchtchikov et Kintchev.

    Le livre est nominé du concours du design de livre Jar-Kniga 2021.

  • Nastia

    Édition en langue russe Édition en langue française

    En coédition avec les Éditions L’Inventaire

    Troïaka, un village russe comme un autre. Des enfants — l’auteur et son frère — y passent leurs vacances avec Nastia, leur nounou, le personnage qui donne son titre à ce récit.

    Il y a la beauté de la nature de la Russie centrale, la luge et le ski l’hiver, l’étang, les promenades, les jeux simples… Ici un cheval, là un chat ou un chien. Des isbas. Une ambiance très tchékhovienne, à ceci près que nous sommes en URSS dans les années 1960-1970.

  • Il est des Russes. Русские

    Édition bilingue

    Album : Rencontres avec des écrivains, des acteurs, des artistes, parmi lesquels Zakhar Prilepine, Irina Prokhorova, Renata Litvinova, Diana Vichneva — 24 personnalités, qui parlent d’elles et de leur vie en Russie.

    Édition bilingue.
    Éditions du Courrier de Russie/Nouveaux Angles.

  • Noël Russe

    Édition bilingue

    Édition bilingue
    En coédition avec les Éditions L’Inventaire

    Illustration de couverture de Michael Sowa

    Noël, au début du siècle, en Russie. Tel l’enfant auquel s’adresse ce récit, vous découvrirez la maison au parquet ciré pour les fêtes, la veilleuse devant l’icône, les gamins du quartier qui passent de maison en maison…

    C’est une Russie rude et généreuse que nous présente l’écrivain, depuis Paris où il a émigré. Une Russie fantasmatique, embellie par la nostalgie et qui, pareille au carillon de Noël, résonne en lui, longtemps après qu’elle a disparu…