Géopolitique du gaz russe

Vecteur de pouvoir et enjeu économique
Édition en langue française

Géopolitique du gaz russe

500,00

novembre 2017
978-2-35597-029-0
16 x 11 à la française • 128 p.
  • Nommé pour le Prix du Meilleur Livre de Géopolitique du Festival de Géopolitique de Grenoble (mars 2018).

Description

« Sur-dramatisation », « sur-idéalisation », « sur-géopolitisation », tels sont, pour Aurélie et Thierry Bros, les maîtres-mots susceptibles de caractériser ces domaines majeurs de l’économie russe que sont la production et la commercialisation du gaz.
Sur-dramatisation de la crise russo-ukrainienne dont les répercussions ont ravivé le débat sur la menace potentielle d’une dépendance européenne vis-à-vis du gaz russe. Sur-idéalisation de la Chine, côté russe, comme moyen de compenser la dégradation des relations avec l’Europe. Sur-géopolitisation dans tous les cas de figure, qui fait oublier, bien souvent, non seulement les enjeux économiques et financiers, mais aussi les rapports de forces qui tendent à s’exacerber entre les producteurs nationaux pour l’accès aux marchés tant en Russie qu’à l’étranger.

Chercheuse indépendante, Aurélie Bros coopère régulièrement avec l’Observatoire franco-russe et d’autres centres de recherche européens et américains. Avant de devenir membre du Saturday Club (un dialogue d’experts germano-russes), elle a été professeur assistant et chercheur à l’École supérieure de Moscou.
Thierry Bros est Senior Research Fellow à l’Oxford Institute for Energy Studies, membre de l’EU-Russia Gas Advisory Council, conseiller pour World Energy Council – Global Gas Centre, Senior Energy Expert à l’Energy Delta Institute et professeur à Sciences Po Paris. En 2016, il a fondé thierrybros.com qui offre une expertise indépendante sur les marchés de l’énergie.

« Sur-dramatisation », « sur-idéalisation », « sur-géopolitisation », tels sont, pour Aurélie et Thierry Bros, les maîtres-mots susceptibles de caractériser ces domaines majeurs de l’économie russe que sont la production et la commercialisation du gaz.
Sur-dramatisation de la crise russo-ukrainienne dont les répercussions ont ravivé le débat sur la menace potentielle d’une dépendance européenne vis-à-vis du gaz russe. Sur-idéalisation de la Chine, côté russe, comme moyen de compenser la dégradation des relations avec l’Europe. Sur-géopolitisation dans tous les cas de figure, qui fait oublier, bien souvent, non seulement les enjeux économiques et financiers, mais aussi les rapports de forces qui tendent à s’exacerber entre les producteurs nationaux pour l’accès aux marchés tant en Russie qu’à l’étranger.

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